Moins la liste des ingrédients est longue, mieux c’est ! Décryptage en pratique

Face aux rayons pleins à craquer et aux compositions controversées… Pas toujours facile de s’y retrouver 🤦‍♀️. À ceux qui, comme nous, veulent des cosmétiques aux ingrédients éthiques et bons pour leur santé, rassurez-vous : vous êtes au bon endroit ! Ici, on ne colle pas des gommettes et on ne joue pas les esthètes : on vous aide juste à décoder vos étiquettes.

1/ Plus c’est long, moins c’est bon 😕

Pour faire simple, si vous ne deviez retenir qu’une seule règle, ce serait celle-là : plus la liste d’ingrédients sur vos flacons de cosmétiques est longue et technique, plus il y a de chances de trouver des substances peu indiquées pour votre santé (comme des mauvais allergènes 🤧 ou les agents cancérigènes 🦠).

Attention cependant à ne pas faire l’amalgame entre le nom latin d’une plante aux vertus reconnues d’une part 🌱, et le nom d’un agent scientifique 🧪 à la consonance pas très éthique, d’autre part. Les deux n’ont effectivement rien à voir.

2/ Quels ingrédients ? Quelle conservation ?

Sur nos étiquettes, les ingrédients de l’INCI (International Nomenclature of Cosmetics Ingredients) sont listés dans un ordre précis, selon la quantité incluse dans le produit de beauté à l’arrivée (de la plus grande à la plus petite).

Ainsi, les premiers ingrédients que vous lirez sont donc les principaux. Le plus souvent, il s’agit de l’eau (Aqua) qui permet d’hydrater correctement votre peau. (D’ailleurs, un gel douche, c’est 80% d’eau) Il est également assez fréquent que le bienfait évoqué dans la publicité ne corresponde pas aux premiers agents actifs cités. Mais ce n’est pas toujours un indicateur fiable. Dans le cas des huiles essentielles très concentrées, par exemple, la quantité de produits n’est pas représentative de son efficacité.

Par ailleurs, la réglementation impose également de préciser la durée de conservation d’un produit après ouverture. Elle est souvent représentée par un symbole représentant une boîte ouverte 🥡 accompagnée d’un chiffre et une lettre comme par exemple “6M” (qui correspond à “6 mois”).

3/ Agents naturels ou scientifiques ? #GoodCop #BadCop

D’après l’INCI, les noms des substances chimiques apparaissent le plus souvent en anglais tandis que les substances naturelles portent bien souvent des noms en latin.

Alors, comment séparer le bon grain de l’ivraie ? Les principaux agents actifs à éviter sont les parabènes, les PEG (PolyÉthylène Glycol) PPG (Polypropylène Glycol), les silicones, les SLS (Laurylsulfate de sodium), les paraffines, les phtalates, les huiles minérales ou encore les sels d’aluminium. Retrouvez aussi sur notre blog la liste complète des agents perturbateurs endocriniens les plus courants.

4/ “Yuka vérifier” sur votre appli

Plus besoin d’être médecin 👨‍⚕️, pharmacien ou chimiste 👩‍🔬 pour comprendre ce qu’on met dans nos flacons. En effet, de nombreuses associations telles que 60 millions de consommateurs ou encore UFC Que Choisir nous informent et nous alertent sur la composition de grands produits de consommation. Grâce à leurs enquêtes, on comprend un peu mieux certaines étiquettes.

Et quand ça devient un peu trop compliqué, les applications prennent aussi le relai. Elles s’appellent Yuka, QuelCosmetic ou INCI Beauty et sont à portée de poche pour nous aider à faire les bons choix. Alors quand vous serez perdu en rayons et que vous hésiterez entre le packaging en carton recyclé ou celui aux jolis dessins dont le nom sonne éco-responsable, un seul geste à faire : scannez 😉

5/ Choisissez-nous 🥰

Chez 900.care, on a toujours été transparents sur nos intentions comme sur la composition de nos produits. Nous utilisons des ingrédients naturels à 95%, vegan et surtout respectueux de votre peau autant que de notre environnement. D’ailleurs, nos produits sont notés 93/100 sur Yuka 😎

🕵️ Sources : ID (L’info durable) – Bioferta – Marie Claire