La liste des déodorants à éviter selon l’UFC que choisir
1 novembre 2021
Choisir un déodorant devient de plus en plus complexe pour ne pas dire carrément angoissant ! Une fois éliminés les sprays inflammables, les sels d’Aluminium controversés et autres substances un peu trop virulentes pour nos aisselles fragiles : quelle alternative reste-t-il ? L’association UFC que choisir a dressé pour nous la liste des marques et références à éviter pour mieux vous y retrouver.
Le flop 10 ☣️
Parmi les déodorants jugés toxiques ou dangereux pour votre santé par l’association UFC Que Choisir, retrouvez les références suivantes :
👉 Le Petit Marseillais – déodorant soin douceur
👉 Ushuaïa Bahia Do Brasil – déodorant 48h
👉 Sanex Nature Protect déodorant
👉 Narta anti-transpirant – efficacité 48h
👉 Dove – original déodorant
👉 Etiaxyl – Détranspirant – Traitement aisselles peaux sensible
👉 Naturalia – Déodorant roll on Aloé vera
👉 Borotalco – Original Déo roll on
👉 Cadum – déodorant micro talc 24h fraîcheur coton
👉 Cadum – déodorant micro talc
🙅♀️ Les substances à éviter ?
Parmi les noms barbares à traquer sur les étiquettes de vos déodorants, retrouvez les noms suivants :
👎 Les sels d’aluminium : s’ils ne sont pas directement interdits, un principe de précaution s’impose et un dosage modéré par la même occasion. Ils sont soupçonnés d’être des perturbateurs endocriniens.
👎 Les parabènes tels que le “propylparabène”. Utilisé comme conservateur, c’est un perturbateur endocrinien impliqué dans le dérèglement hormonal et dont les concentrations maximales autorisées ont été abaissées depuis 2013 par le CSSC (Comité Scientifique Européen).
👎 Les silicones ou dérivés tels que le “cytopentasiloxane”, présent dans 8 produits testés par UFC et suspecté d’être un perturbateur endocrinien également.
👎 Les allergènes : près de 26 molécules utilisées pour parfumer nos déodorants ont été recensées comme allergisantes et limitent grandement le choix des peaux sensibles ou atopiques. Découvrez comment éviter les allergènes dans vos crèmes.
D’autres substances n’ont pas fait l’objet de sanctions mais l’UFC Que Choisir recommande tout de même une restriction de leur usage. Parmi elles, on retrouve le “phénoxyéthanol”. Cet éther de glycol est utilisé comme conservateur dans les produits destinés aux enfants de moins de 3 ans et notamment dans les lingettes pour bébé. Il est jugé inoffensif en dessous de 1% maximum de la composition d’un déodorant.
Surveillez également la présence de méthylparabène dans votre anti-transpirant. Cette molécule, non sanctionnée, fait partie de la famille des parabènes dits à “chaîne carbonée courte” non classés comme perturbateurs endocriniens, contrairement aux parabènes “à longue chaîne carbonée”, jugés nocifs.
Haut les mains, c’est pour votre bien 🙌
Parce qu’on ne pouvait pas vous laisser sur une note négative… Voici quelques conseils et alternatives à privilégier pour vivre les aisselles libres et détendues.
1/ Votre future devise : “zéro sels sous mes aisselles” 👊 . Et par ici les conseils pour bien choisir votre déodorant sans sel d’aluminium.
2/ Adoptez un déodorant solide naturel ou bio dont la composition est bien souvent plus saine. À tous les curieux qui voudraient se lancer, découvrez comment utiliser un déodorant solide.
3/ Et parce qu’il prend soin de vos aisselles autant que de notre planète… on vous donne 7 bonnes raisons de tester notre déodorant en stick à recharger :
👉 Il ne contient AUCUN ingrédient controversé
👉 Il a reçu la note de 100/100 sur Yuka
👉 Plus de 10 000 béta-testeurs l’ont éprouvé et ont contribué à l’améliorer
👉 Il est efficace toute la journée
👉 Il ne laisse pas de traces blanches sur vos vêtements
👉 Il sent bon la verveine, les embruns ou la rose
👉 Il ne contient pas d’huile essentielle et peut être utilisé par les femmes enceintes
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