Déo et débats : comment choisir un bon déodorant ?

Comment choisir son déodorant ? Telle est la question. Allez-vous préférer “l’efficacité prouvée 24h ou 48h” ? La version à bille ou en spray ? Le flacon classique ou compressé ? La pierre d’alun ou le déo à tout jamais ? Entre toutes ces références, nos aisselles balancent 🤷‍♀️. Pas de panique, vous risquez de transpirer 😅 On vous aide à faire le tri 👇

Dis, 900.care, pourquoi on transpire ?

Souriez et dites oui à la transpi 🙌 (enfin, pas si haut les bras 😉). Pas toujours facile à croire mais qu’on se le dise : le corps humain est tellement bien fait. Alors s’il a décidé de transpirer, il y a forcément une utilité. Laquelle ? Réguler la température de votre corps 🤒 et même le refroidir en cas de surchauffe 🔥 (on appelle ça aussi l’hyperthermie 🤓).

Vous avez sûrement en tête l’image du chien qui tire la langue en haletant ? 👅 Eh bien, c’est pour la même raison. Alors, vous préférez tirer la langue ou transpirer ? 😛 Bref, revenons-en à nos déos, : pour être transparents, le principal problème du transpirant : c’est l’odeur 🥵 et la gêne qui va avec. Pas vrai ? 😳 (#çasentlevécu). À vous les différentes options pour masquer, neutraliser et dompter la méchante transpiration.

Derrière l’étiquette “déodorant” 🔖

Derrière l’appellation “déodorant”, on trouve souvent plusieurs acteurs aux compositions et aux principes actifs différents. Par ici les clés pour flairer les bons des mauvais 🗝

> L’anti-transpirant utilise le plus souvent des sels d’aluminium pour resserrer les pores. Résultat : la transpiration est bloquée ✋ Personne ne sort : ni humidité, ni odeur. Pour porter l’étiquette : “anti-transpirant” selon UFC que Choisir, un produit doit réduire la sécrétion de sueur d’au moins 20% sur la moitié des utilisateurs qui l’ont testé.

Le hic avec l’anti-transpirant ? La sueur ne peut plus jouer son rôle de régulateur thermique et protecteur. Et on ne parle pas des effets nocifs des sels d’aluminium sur la santé 😡. Certains chercheurs de la Fondation des Grangettes à Genève le pensent responsable de l’apparition du cancer du sein et un rapport de l’ANSM déconseillait déjà l’application de sels d’aluminium sur les peaux fraîchement rasées ou abîmées. Coïncidence ? On ne croit pas 🤨

> Et le déodorant alors ? Le déo ne bloque pas la sudation mais a pour principale fonction de bloquer l’odeur. Sans sels d’aluminium, il concentre plutôt ses efforts sur les bactéries responsables de la mauvaise odeur en tentant de les absorber ou de les masquer efficacement pour la journée (voire les deux combinés #deuxenun).

> Vous connaissez Pierre 👈 et 👉 Alun ? Au naturel, la pierre d’alun est un sulfate de potassium. Elle porte alors l’étiquette “potassium alum” et est désignée comme un déodorant (et non un anti-transpirant). Elle peut aussi porter la mention “sans anti-transpirant synthétique”. En version synthétique, c’est un sulfate d’ammonium ou d’aluminium. Elle est alors nommée “ammonium alum”. Dans les deux cas, la pierre d’alun contient des sels d’aluminium mais plus gros qui, à priori, ne rentrent pas dans la peau selon Docitpharma.

> Bicarb’au naturel
Le bicarbonate de soude inhibe la formation des bactéries responsables des odeurs. Retrouvez-le d’ailleurs dans notre déo stick 900.care

> Phytothérapie, oh oui !
En tisanes, la sauge et la prèle sont réputées pour limiter la transpiration. Ça vaut le coup d’essayer, non ?

Should I spray or should I go ? 🎸🕶

Déo-bille ou déo-spray… Le dilemme reste entier mais plus pour très longtemps 😏

Les déos en aérosol contiennent des gaz propulseurs (hydrocarbures, butane, propane ou isobutane). Ils sont donc inflammables. Et si les accidents sont rares, le risque ne doit pas être occulté. Mais ce n’est pas là son seul défaut. En vaporisant son déo en spray sur ses jolies aisselles, on dépose sur la peau un nuage de fines gouttelettes 💦 qu’on diffuse dans l’air 💨, par la même occasion. Un cocktail détonnant et gazeux qu’on vous listait juste avant : mieux vaut peut-être éviter de respirer ses nuées, non ? Et ce n’est pas fini… Le dernier inconvénient du spray (et pas des moindre à notre avis) : son flacon est à usage unique qu’il soit standard ou compressé. En résumé : promis, on ne le fait pas “ex-spray” mais on préfère vous le déconseiller.

Vous l’avez compris, nos préférés restent ceux qui touchent leur bille et qu’on appelle aussi “roll-on” ou encore leur collègue en stick, plutôt pratique. D’ailleurs chez 900.care, notre déodorant à sticker présente un autre avantage : avec lui pas de décharge, il se recharge !

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Sources : Quechoisir – Doctipharma – futurasciences